Nous assistons victimes endeuillées après un accident mortel de la circulation dans la défense de leurs droits.
Il s’agit parfois de rétablir le fait que la victime n’avait commis aucune faute de conduite.
Il convient de restaurer la mémoire du défunt mais également d’obtenir l’indemnisation des préjudices des ayants-droits : notamment les préjudices moraux d’affection, les préjudices économiques du fait du décès du conjoint ou du parent, les souffrances endurées par la victime avant son décès.